Visite chez Carter [PV Carter]

"Et bien... Je commencerai par quelques baisers bien passionnés et au lieu de mettre à l'épreuve ta résistance en appliquant l'échelle de 25 côté poitrine... ej viserai un endroit du bas ventre bien plus vulnérable. Un homme cède à trois, une femme à dix... Mais aucun cobaye de sexe féminin n'a passé le cap du cinq avec moi. Je suis très doué dans ce genre de torture..."

Répondit carter avec un sourire à la fois espiègle, malin et tentateur. Il savait Elizabeth forte. mais le corps était vulnérable tant à la douleur quau plaisir et pour noyer un flot de pensées cohérente, le plaisir était le plus redoutable. On pouvait mourir de son plaisir plus facilement que de la douleur... Mais jamais carter ne se serait versé dans la torture douloureuse. il respectait trop le corps humain pour s'abaisser à une si vile chose.

Elizabeth l'écouta avec une mine réfléchie. Pourtant, sa décision était prise depuis qu'il avait ouvert la bouche pour se prononcer sur le sujet.

"Eh bien, je suis prête à courir le risque... «À mes risques et périles» dit-on!"

Répliqua l'espionne en tâchant de laisser un certain temps avant de lui répondre, voulant laisser plâner un certain mystère. Et puis, cette réponse étonnerait personne. Elle, si dévouée et déterminée, si acharnée et contrôlée. Elle si... si impulsive. Sur ce, elle laissa son corps à une seconde torture à un endroit bien plus vulnérable encore. Elle observa le médecin qui allait sans doute pas tarder à s'éxécuter en tant que maître du martyre. Elle commençait déjà à s'abandonner en fermant ses yeux. Toutefois, voulant garder son côté séducteur qui faisait sa réputation, elle tâcha de ne pas camoufler sa sueur sur ses tempes et sa respiration déjà rapide qui élèvait très haut sa poitrine dont elle était fière d'offrir aussi ouvertement à Martin.

"Que ta torture me fasse regretter de l'avoir choisi, Martin!

Souffla l'espionne entre deux profonds rapides respires. Elle se racla la gorge en silence, avalant de la salive pour s'hydrater les convois de la gorge qu'elle trouvait un peu secs à son goûts. Mais bon, lorsque la respiration est rapide...

"Qu'elle me fasse regretter..."

"Ainsi soit-il. Le corps humain est une arme à double tranchant. On peut le conditionner à résister aux pires souffrances..."

Dit Carter avant d'embrasser fougeusement Elizabeth, prolongeant le baiser jusuq'à ce que la jeune espionne à la respiration rapide soit forcée de céder pour reprendre son souffle. à peine avait-elle reprit une demi goulée d'air que les doigts agiles de carter se mirent à l'oeuvre, allant cerhcehr le point sensible de l'anatomie féminine, amorçant un mouvement délibérément paresseux et lent mais si insoutenable, un mouvement duquel on voudrait crier à la fois "pitié, arrêtez!" et "Hum... Continue..."... L'amorce de la plus impitoyable des cartes de Martin Carter pour faire parler une espionne. si Elizabeth avait eu du mal à résister à la première torture, celle-ci allait s'avérer un défi probablement insurmontable...

"... Mais jamais à résister au plaisir."

Manifestement, Elizabeth lui avait refilé de sa potion de l'audace. Au départ, elle l'avait connu hésitant, voire un peu réticent à recevoir autant de tendresse d'une femme. Et voilà qu'il jouait les séducteurs, les persuadeurs pour tenter de faire regretter à l'espionne d'avoir refusé de lui avoir prononcé quatre mots qui exprimaient une vague de passion déferlant chaque fois sur votre visage et vos oreilles. La jeune femme écarta ses bras et ses mains allèrent s'aggriper aux couvertures si fermement que ses muscles se tendirent et ses veines ressortirent. De même que sa sueur se perlait davantage à son visage, mais aussi partout sur son corps où se trouvaient ces glandes qui sécrétaient ce liquide. Ouvrant grandement la bouche parfois, elle se serrait les lèvres et les rongeait jusqu'au sang.

"JE T'AIME MAAAARTIIINN!!!!!"

S'écria vivement l'espionne au bout de plusieurs minutes de résistance. C'était signe qu'elle avait cédé, la torture étant pire que celle qu'il lui avait fait subir tout à l'heure.

Et comme si elle se réveillait enfin d'un cauchemar, elle ouvrit brusquement les yeux et s'empara brutalement de ses lèvres, voulant les savourer jusqu'à les extraire. Avec une violente force, presque animale, elle réussit à retirer le médecin de sur elle. Prise d'une soudaine poussée d'adrénaline, elle plaqua Martin sur le dos et se retrouva en position de force en étant sur lui, posant un genou de chaque côté de sa taille. Elle continua de lui dévorer les lèvres comme s'il s'agissait de la nourriture la plus appétissante au monde. Venant à manquer d'air, elle se défit de sa bouche et prit de profondes respirations, remarquant que ses cheveux étaient devenus plus humides et sa température plus chaude. Elle ravala sa salive pour hydrater sa bouche et déposa doucement sa poitrine battante et brûlante sur le torse de Carter comme si la force la lâchait. Toutefois, elle n'allait pas s'arrêter là. Au contraire, tenace, elle allait tenir jusqu'au bout.

"Je... je t'aime... Martin!"

Énonça à nouveau, sans hurler cette fois, Elizabeth alors qu'elle avait toujours du mal à articuler ses mots avec toute cette rapide respiration qui lui encombrait la voix.

"Hum... Tu es plus tenace que je ne m'y attendait mais moins que ce que j'espérais... Un bon compromis je dirais. Si fière, si forte, tout cela par amour... Tu finiras par être indestructible, ta force semble croître avec notre amour, seule garantie encore valable dans ce monde de dinges... Moi aussi je t'aime elizabeth, de tout mon être qui plus est... Tu as plus de valeur à mes yeux que tout ce que ce monde peut m'apporter... Plus encore que ce dont je pourrais rêver... Tu es... Tout. Absolument tout pour moi."

Dit tendrement Martin à l'espionne épuisée mais encore d'attaque.

Elizabeth l'écouta en venant à être touchée par ce qu'il lui disait. Elle était tout pour lui, plus que tout ce que le monde avait pu lui apporter. Elle dégagea une mèche de ses cheveux, toujours aussi rebelle d'ailleurs, du visage de Carter, trouvant superflu que cela lui cache sa vision.

"Martin... tu es si... si..."

Les mots venaient à lui manquer et afin de les retrouver, elle décida d'aller les trouver en déposant fougueusement ses lèvres sur les siennes, se retrouvant à cours de souffle au bout d'un long moment.

"... irrésistible quand tu parles qu'il m'est impossible de ne pas ne pas céder."

Lui avoua l'espionne qui l'observa avec ses iris bleueté. Elle lui sourit et s'empara de ses lèvres à nouveau, marquant un contraste flagrant puisqu'elle s'était remise à être vivement énergique et torrentieuse dans son éxécution, toujours aussi fidèle à sa nature d'impulsive. Elle sortit sa langue de sa bouche, la glissant sur sa peau pour atteindre le cou sensuellement. Elle lui baisa à nouveau cette région et tranquillement, se mit à descendre sur son torse en traçant une ligne avec sa salive, s'arrêtant à son nombril. Elle remonta ensuite à ses lèvres, collant et frottant sa poitrine contre son derme. Elle rejoint sa bouche et s'appuya, pour se maintenir en équilibre, sur les épaules du médecin.

"Qu'as-tu pensé de moi la première fois qu'on s'est vu? Ça fait longtemps, mais j'ose espérer que tu t'en souviens..."

Demanda Elizabeth au bout d'un moment alors que la question lui effleura l'esprit soudainement.

"Visite médicale règlementaire, je m'en souviens très bien. À cette épouqe, tu tétais montrée réticente à ce que je t'ausculte, maugréant quelque chose comme: les hommes tous les mêmes, des obsédés et des cochons. Je me souviens t'avoir menacé de te mettre sous sédatif si tu ne me laissait pas faire mon travail et tu m'avais plaqué contre le mur, m'avait soulevé par le col de mon sarrau en me disant que tu me ferais avaler ma seringue si j'essayais. En temps normal, j'aurais été extrêmement venimeux dans mon rapport au patron mais quelque chose m'a retenu de le faire. C'est cette force que tu avais exhibé ce jour là, cette volonté d'indépendancce et cette ardeur combative à t'en tenir à tes idéaux. Et pour être franc, j'ai toujours eu un faible pour les femmes qui savent s'imposer et qui peuvent mettre au tapis la moyenne des hommes. Moi, je ne le peux pas. Je me suis toujours dit qu'il serait comique d'inverser les rôles si jamais j'étais en couple: le prince en détresse et la chevalière."

Dit Carter, songeur et rougissant un quelquqe peu. Il parlait rarement de ses goûts et préférences en matière d'autre chose que la médecine... Et avouer là comme ça qu'Elizabeth était l'incarnation vivante de la femme parfaite (et d'un autre mot commençant par f...) était chose à laquelle il était encore assez réticent non par orgueil mais par timidité.

Elizabeth s'esclaffa de rire, se remémorant très bien ce jour-là comme si c'était hier. Elle avait, depuis, quelque peu changé, se soumettant désormais aux examens annuelles qu'on ordonnait aux employés de la Schya. La première fois, cela ne l'avait pas plu et cette journée-là, elle était plutôt de mauvaise humeur... pourquoi? Elle ne s'en rappelait plus. Enfin, c'était un détail qui était d'aucune importance.

"Haha! C'est vrai! À croire que j'ai très peu changé..."

Dit-elle en esquissant un sourire malin avant de dévorer ses lèvres. Puis, elle s'approcha de son oreille, ne se gênant aucunement pour faire valoir ses gloires de femme.

"Et si on se refaisait cette époque? Toutefois, en inversant les rôles?"

Lui proposa l'espionne en étouffa un rire alors qu'elle ramenait ses yeux qui le savouraient d'un simple coup d'oeil sur lui. Elle se secoua la tête afin d'envoyer en arrière sa chevelure ébène qui la dérangeait dans sa vision. Et comme si elle avait oublié quelque chose et qu'elle désirait que seul Carter l'entende, elle se rapprocha à nouveau de son oreille et lui sussura.

"Plaque-moi, Martin, plaque-moi!"

Ordonna la jeune femme sur un ton insistant, mais suave avec un brin de sensualité dans sa voix. Elle reporta ensuite son attention sur lui.

"Moi? Mais non, je ne peux pas voyons, je ne suis qu'un simple docteur, pas une espionne à la force herculéenne comme toi!"

Protesta martin qui n'attendit que de la part d'Elizabeth une réation où elle abaisserait une garde éventuelle pour frapper. En moins de deux, il avait inversé les positions et l'espionne était désormais solidement plaquée sur le lit par Martin.

"J'ai par contre mes propres ressources cachées quand le besoin se fait sentir, il va de soi. Je serais un bien piètre élément pour la Schya autrement. Ce que je ne suis pas, évidemment. J'ai survécu bien plus longtemps que mes collègues et prédéscesseurs tu sais..."

Ce fut au tour de Carter d'embrasser fougeusement la jeune espionne mais il ne s'arrêta pas à la bouche et au cou, déposant également des baisers sur le fier buste d'Elizabeth, assez long pour la faire frisonner et trop court pour en avoir assez.

Elizabeth émit un cri de surprise lorsqu'il la renversa, sa précédente réponse ne soupçonnait pas ce genre de réaction de sa part. Elle se retrouva toute échevelée. Encore une fois, elle hocha vivement la tête pour retirer ses mèches rebelles. Elle sourit, ensuite, visiblement amusée.

"Tu es toujours aussi imprévisible!"

Riposta-t-elle aussitôt, se retrouvant solidement clouée sous lui par sa force qu'elle n'avait, jusque-là, pas tenu compte.

"Je n'en doute pas! Tu es tout aussi redoutable."

Répliqua la jeune femme.

L'espionne releva son menton, répondant ouvertement à son baiser fougueux. Puis, il se fit plus audacieux encore une fois en longeant son cou pour se retrouver sur son buste qu'il embrassa au plaisir de la jeune femme qui se mordilla la lèvre inférieure. Qui plus est, elle ne pouvait pas bougé, les mains de Carter la tenaient plaquée sur le dos. Prisonnière, pous ainsi dire, elle s'abandonna aux caresses que lui offraient ses lèvres, souriant espièglement à cette attention qu'elle aimait recevoir. C'était d'autant plus agréable que de le sentir moins hésitant et plus entreprenant. À croire qu'elle avait réussi à le persuader de se décoincer et de se déniaiser avec les femmes... avec Elizabeth.

"C'est ce qui est amusant dans un rapport de force: faire languir l'autre, le torturer lentement, lui donner juste assez pour lui faie ressentir d'incroyables sensations mais pas suffisamment pour lui en faire profiter pleinement..."

Dit Martin en continuant à baiser le buste d'Elizabeth. De quoi faire monter son d.ésir en flèche sans lui donner satisfaction, la poussant à vouloir, à espérer plus pour se rendre compte finalement qu'étant en position de faiblesse elle ne pouvait rien exiger... Carter ne faisait pas ça par méchanceté au contraire: il lui donnait le plaisir au compte-goutte pour faire durer cette première relation intime le plus possible. Et il savait que la jeune espionne pouvait aisément inverser les rôles...

Certes, en pleine extase, il manquait toutefois LA chose qui lui ferait atteindre le niveau maximum. Toutefois, le désir devait monter graduellement afin de mieux apprécier ce but ultime. Et puis, Elizabeth trouvait que le médecin était plutôt bon à ce niveau; il savait se faire languir et lui faire atteindre un haut niveau de jubilation avec uniquement ses cours d'anatomie et de biologie. Quant à l'espionne, dans ses relations intérieures, elle n'avait jamais autant attendu pour atteindre satisfaction. Néanmoins, l'expérience étant tout nouveau pour elle, la jeune femme se prêta au jeu sans se plaindre, se résignant à retarder le moment le plus intime de cette relation.

Lorsqu'elle ouvrit ses yeux, tout ce qu'elle vit fut la touffe rebelle qui couvrait le crâne de Martin. Pouvant bouger assez aisément ses bras et surtout ses mains, elle amena dans ses cheveux, entremêlant ses doigts dans ses mèches et lui gratter la tête qui, somme toute, procurait bien des frissons étant donné les nombreuses cellules sensorielles qu'on retrouve à la racine.

"À ce niveau-là, je suis une novice comparée à toi!"

Lui avoua l'espionne.

Bien que l'envie était là, Elizabeth tâcha de laisser le médecin l'achever par cette torture des sens. Elle referma ses yeux, se concentrant sur le contact de ses lèvres qui la faisaient bien châtouiller à certains moments, la faisait bouger comme un serpent sous lui. Et qu'elle agréable sensation que de sentir sa langue se mettre de la partie dans cette escalade de plaisir. Encore une fois, elle ne se retint pas pour laisser échapper quelques gémissements d'extase ou encore respirer profondément pour faire exprès de soulever aussi hautement sa poitrine chaude et brûlante, son coeur se consumant sous cette infâme torture.

"Je peux faire encore pire tu sais. Je pourrais par exemple te donner bien trop de plaisir trop rapidement pour qu'il reste sous ton contrôle ett te faire perdre tout tes moyens. Mais où serait alors la beauté de la chose6 C'est un combat entre mon expertise et ta volonté et je trouve le défi stimulant. Très stimulant. Ton taux de résistance est exceptionnel, on dirait qu'en te mettant une simple image en têt tu arrives à décupler tes moyens..."

Pour illustrer ses propos, Martin y mit plus d'ardeur, plus de langue et mordillant l'éminence des deux monts féminins d'Elizabeth. De quoi la faire gémir de plaisir, de quoi faire monter son plaisir en flèche mais encore une fois, de quoi confronter sa volonté à son désir, de déclencher un combat intérieur chez l'espionne: céder, avoir l'Ultime plaisir mais seul ou se contenir, lutter attendre et l'avoir à deux? Martin savait pertinement que quand on avait goûté à l'ultime plaisir une fois, on ne pouvait plus s'en passer. Le sexe était une drogue plus mortelle que bien des drogues conventionnelles. la question était: à quel point Elizabeth était-elle dépendante à son propre plaisir...

Elizabeth l'écouta, sans porter une attention particulière sur une ouverture qu'il ferait pour illustrer le fond de sa pensée. La surprise secouant l'espionne dans un violent frisson qui gagna son corps entier, elle renversa sa tête vers l'arrière, se cramponnant aux cheveux de Carter avec lesquels elle s'amusait.

"Aaah Martin! Noonn!"

Mais ce «non» à proprement parler ressembler plus à un «oui». Toutefois, c'était une négation qui acceptait l'idée de son inventeur. Et l'activité qu'il adonnait à l'éminence de ses gloires féminines, chargea d'hérisser et de raidir ceux-ci sous l'effet du plaisir qu'il lui prodiguait. Cela eut tôt fait d'augmenter le rythme de sa respiration et de ses pulsations cardiaques déjà en ascension. Elle se retrouva à avoir plus chaud et à repousser les limites du plaisir, l'obligeant à s'exprimer verbalement par des cris et des gémissements. Pour tenter de se contenir toutefois, pour éviter de lui faire cesser le jeu, elle se mordait les lèvres, les humectait et ouvrait la bouche pour laisser passer les réflexes et les commandes de son cerveau sous l'effet de ce haut taux d'euphorie.

"Tu finiras par me tuer!"

Ironisa l'espionne. Cependant, elle ne voulait qu'il s'arrête pour autant. Au contraire, elle l'incitait à continuer vivement, cambrant son corps en contractant ses abdominaux pour les lui présenter pour qu'il puisse y toucher plus qu'avec les yeux et ses mains. Qui plus est, une certaine hâte l'envahissait quant à vouloir lui offrir en retour le même genre de plaisir. Quant à savoir comment, il fallait qu'elle résiste pour pouvoir qu'ils se le donnent mutuellement. Ainsi, une grande marge de manoeuvre aurait été faite et elle pourrait, sans doute, le faire monter plus haut avec ses propres moyens en tant que séductrice.

"Te tuer? De cette façon? C'est faisable mais il faudrait que tu fasses un arrêt cardiaque sans que je te réanime par la suite... Et enocre, il faudrait vraiment que je fasse tomber l'ultime rempart de volonté qu'il resterait en toi avant de noyer ton cerveau avec un plaisir incontrôlable et encore, pour ce faire, je ne m'attaques pas, présentement à la bonne zone de ton corps pour rendre la chose possible. Dans cette position ci, tu pourrais atteindre l'orgasme mais au vu de ta volonté... J'ai de fort doutes là dessus. De très fort doutes. Mais qui sait, c'est très stimulant pour un spécialiste de ma trempe de me mesurer à quelqu'un de si résistant. Si frustrant et si... Excitant? Amusant? Je ne saurais dire. Mais le défi et là et il me motive à me dépasser."

Martin embrassa ensuite la jeune femme, explorant à son tour et pour la première fois la bouche de l'espionne avant de repartir à la conquête de sa glorieuse poitrine. Les baisers se firent plus enflammée, les caresses plus osées, les coups de langues plus vifs et les mordillements plus forts. Qui eut cru que son expertise en torture douce lui servirait un jour dans une relation amoureuse durable?

"Alors, je te lance le défi, Martin!"

Répliqua simplement Elizabeth qui retomba aussitôt sur la planète de l'extase qui lui procurait pleinement Carter. Qui plus est, ce fut la première fois qu'elle sentit sa langue explorer les moindres recoins de sa bouche. Chose qu'elle tâcha de faire pareil à nouveau en effectuant la même routine quasi olympique à constater la force qu'ils y mettaient chacun. Et la reconquête de ses monts glorieux de l'espionne par le médecin tâcha de le qualifier roi et expert en la matière.

Ayant pas une aggripe assez forte et résistante à son goût, la jeune femme déployant ses bras vers le côté et se cramponnant aux draps en y enfonçant durement ses ongles dont le dessous devint blanc par manque de sang et d'oxygène. Ses gémissements se faisaient de plus en plus fort, accentuant les ondulations de son corps que son cerveau commandait de faire sous l'effet stimulant du plaisir. Par ailleurs, sa respiration se faisait de plus en plus haletante, devenant une véritable explosion de souffles rapides et de cris euphoriques. Elle espérait, au fond d'elle-même, qu'il fasse effondrer ce mur de trop grande volonté à vouloir résister à l'ennemi qui se faisait de plus en plus redoutable et féroce dans sa bataille, son expertise tâchant de vouloir faire céder son adversaire dans les plus brefs délais. Une véritable guerre de l'âme quoi!

Pkus Elizabeth résistait, plus Carter mettait le paquet. toute son expertise y passait: doigté, talent, manipulations, variantes... Cela semblait ne pas suffir pour vaincre les défenses d'Elizabeth. Oh bien sûr, il aurait bu viser la zone du bas ventre avec ses attaques mais le défi aurait été bien moindre donc moins stimulant. Carter commençait à transpirer sous l'effort et il redoubla d'ardeur, y mettant encore plus de volonté et cette même forme d'agressivité dont avait fait preuve l'espionne plus tôt, lors d'un échange de salive. Carter était de ceux qui se battaient jusqu'à réussir et il était plus que déterminé à faire céder Elizabeth même si cela devait l'épuiser. Il comptait bien donner son 110% et c'est de peine et de misère qu'il était confronté aux années dentraînement de l'espionne. Jusqu'à un mordillement un peu plus fort que les autres qui arracha un cri de plaisir de la jeune femme. Il sut alors qu'une fissure s'était faite dans la muraille... Et il décida de l'exploiter à fond. Elizabeth allait céder dans les minutes à venir...

On aurait dit qu'on allait lui arracher les amygdales ou les dents de sagesse sans anestésie. On aurait dit qu'on l'opérait sans qu'on l'endorme. On aurait dit qu'elle accouchait... Non pas d'un enfant mais d'un plaisir grandiose. C'est pour ainsi qu'au mordillement le plus prononcé qu'il lui avait jusqu'à présent, Elizabeth poussa un cri et renversa sa tête à nouveau vers l'arrière en fermant les yeux. Elle se cambra le haut du corps, soulevant hautement sa poitrine comme offrande. Elle plissait des yeux, signe qu'elle résistait toujours malgré la faille infligée à sa muraille. Elle respirait de plus en plus fort, transpirait encore plus, sentant ses cheveux se coller à sa peau. Et autant ceux de Carter qui s'agitait sur son buste, lui procurant encore plus de plaisir dû aux chatouillis. Elle se cramponnant davantage aux draps, mais l'effet de la retenir ne fut pas escompté. Elle claqua donc ses mains dans le dos du médecin et le griffa accidentellement en remontant ses doigts durement enfoncés dans sa peau. Résultat flagrant d'une perte de contrôle de tous ses moyens pour tenter de rester en maîtrise de soi-même. Et à nouveau, elle chercha une pogne dans les draps, allant jusqu'à s'accrocher au matelas.

L'espionne était épuisée, certes, étant donné l'énorme effort qu'elle rassemblait dans tout son corps pour tenter de se contenir encore un peu.

Toutefois, après quelques minutes de résistance, le muret fini par céder complètement sous l'effet des boulets de canon que Carter lançait à profusion sur son corps. Elle poussa un cri déchirant, signifiant que le point culminant de l'euphorie avait sans doute été atteint par Elizabeth, à savoir, l'orgasme. De grosses gouttes de sueur perlaient autant sur son visage que sur le reste de son coeur à des endroits particuliers. Martin, avait pour ainsi dire, réussi son défi. Aucune fusion des corps avait été nécessaire pour atteindre ce but ultime de ce type de relation. L'expertise du médecin avait suffit...

"Un test concluant... Tu peux être fier de toi!"

Dit un Martin à la voix vacillante, au ton haletant mais au sourire fier pour la jeune espionne. Il était légèrement faitgué: déployer autant de doigté demande plus qu'une concentration ordinaire: le mouvement, les halètements, les gémissements, les cris (et les griffures...) étaient des variables mortelles dans ce genre de travail: perdre sa concetration pouvait résulter en blessures et il avait tout fait pour l'éviter. Mais il était fier du résultat, il avait atteitn son objectif.

"Tu es extraordinaire Elizabeth, unique, hors norme, tu es... Je ne trouve même pas de mots pour le qualifier. Je n'arrives pas à croire à ma chance: moi, Martin carter, la terreur de l'infirmerie avec toi... Je veux ne jamais me réveiller de ce rêve merveilleux..."

Malgré que son esprit était très loin, Elizabeth entendit les dires de Carter qui ont tôt fait de l'aider à redescendre graduellement sur terre. Sa respiration devenant moins haletante et saccadée, restant toujours chaud par contre, vint se mêler aux quelques gémissements qu'il lui restait à évacuer. Elle passa une main dans ses cheveux, constatant à quel point ils étaient fort humides. Elle finit par ouvrir les yeux, découvrant le médecin dans le même état lamentable qu'elle. Elle savait, simplement par sa respiration, qu'il était tout aussi à bout de forces qu'elle. Aucun ne donnerait assez d'énergie à l'autre comme ce fut le cas pour l'espionne plus tôt. Elle lui sourit, ses lèvres légèrement tremblantes de par l'expérience. Elle se passa l'autre main dans le cou, voulant essuyer un peu de sueur. En effet, qui aurait été capable d'être tenace et têtu pour faire fondre l'iceberg Carter? La réponse était là, sous ses yeux...

"Woww, Martin! T'es... ouff! Époustouflant..."

Énonça Elizabeth d'une voix vacillante et fatiguée par le débordement d'énergie qu'il lui avait fait faire il y a tout juste quelques secondes. Et cela l'étonnait encore. Il avait usé que de son expertise pour lui faire atteindre le point culminant de l'euphorie la plus incontrôlable qui soit et celui qui vous pousse à vouloir recommencer un de ces jours tellement la jubilation est énorme.

L'espionne s'humecta plusieurs fois les lèvres, se raclant la gorge à maintes reprises afin de s'hydrater un peu la gorge. Toutefois, elle respirait toujours aussi profondément pour pouvoir soulever sa poitrine autant. Elle retira sa main de ses cheveux et la glissa dans ceux du médecin, constatant qu'ils étaient tout aussi trempés que les siens. À cela, elle s'esclaffa de rire sans mettre trop d'emphase, étant toujours à bout de souffle pour se soumettre à se dilater la rate.

"T'as eu aussi chaud que moi! T'imagines la chaleur qu'il ferait si tu avais toujours ta combinaison spatiale?!"

S'exclama Elizabeth qui reprenait tranquillement un souffle quasi normale.

"Une question intéressante... J'estime le différenciel de température à plus ou moins cinq degré celsius mais c'est un estimé un rien bâclé se basnat sur de sréférentiels difficilemment vérifiables..."

Répondit faiblement le médecin avant de se lever, allant chercher d'un pas vacillant deux bouteilles d'eau dans le réfrigérateur du laboratoire. Sa douce et tendre avait besoin de se réhydrater et lui... Il avait simplement soif. Il ramassa au passage un sachet contenant de petites pillules qu'il amena avec lui.

"Fortifiants, comme c'est écrit sur le sachet. Je serais bien cruel de te laisser dans un tel état. Tu as besoin de reprendre des forces et à moins de vouloir dormir plus de douze heures de suite, c'est l'alternative la plus saine et la plus effiace. C'est avec ces petits machins que je reste éveillé des jours durant."

Sans même l'avoir réclamé, Martin se leva de lui-même pour aller chercher à boire. Pendant ce temps, Elizabeth s'assit sur le lit et se passa à nouveau une main dans les cheveux. Elle laissa échapper une certaine chaleur en expirant fortement. Lorsque Carter revint, la jeune femme s'empara de la bouteille d'eau, l'ouvrit avec impatience et hâte et enfin, elle put sentir le liquide pénétrer en elle, descendant sa gorge qui se refroidit un peu. Après une longue gorgée, elle lâcha un profond soupir de soulagement. Elle alla trouver refuge sur l'épaule de médecin en y déposant sa tête, tout en apposant le bouchon sur la bouteille. Elle se mit cette dernière dans le cou, se procurant une certaine source de refroidissement afin d'abaisser sa température corporelle. Elle observa le sachet de fortifiants un instant puis considéra Martin avec un sourire en coin.

"Cruel tu dis? Tu as été comme ce bon vieux Dracula qui vide le sang de ses proies en extrayant toute mon énergie."

S'exclama la jeune femme avant de s'emparer du sachet. Lisant en diagonale la posologie, elle l'ouvrit et s'en prit. Après tout, il ne fallait pas en abuser et un suffisait largement. Elle déposa la petite pillule sur le bout de sa langue et, avec une gorgée d'eau, l'avala d'un coup sec. Se dissolvant tranquillement dans son organisme, les effets n'allaient pas tarder à se montrer. Il ne fallait, tout au plus, une quinzaine de minutes... ou dans le cas d'Elizabeth, cinq minutes maximum.

"Je ne veux pas dormir... enfin, pas tout de suite!"

S'objecta l'espionne qui fixa Carter dans les yeux.

"Avec ça dans le corps? Aucune chance espionne de mon coeur. Même un tranquilisant pour éléphant te laisserait de marbre après que cette pillule aie commencée à faire son effet. C'est une formule concentrée excessivement puissante de ma composition, plus de trois ans de recherches ardues. si tu savais le temps qu'on peut passer à travailler sur un projet et à... À... Elizabeth? est-ce que ça va? Elizabeth?"

Demanda le jeune médecin, surprit. Il fut surprit de voir la jeune femme se figer tout d'un coup. ce que carter ne savait pas c'est qu'il venait de réveiller non pas un mais deux volcans. Déjà qu'il avait pu voir l,énergie d'elizabeth au naturel... Qu'est-ce que cela serait avec un tel fortifiant dans le corps? Martn se posa la question certes... Mais trop tard. Bien trop tard...

Tout à coup, Elizabeth ne l'entendit plus. Elle se figea comme de la glace, l'air grave et les yeux exorbités. Clignant à peine des yeux, elle fixait le vide devant elle, inspirant un sentiment d'inquiétude chez Carter. Soudain, elle revint à la réalité et se tourna mécaniquement vers le médecin comme si elle était une poupée ventriloque. Considérant profondément Martin dans les yeux pendant un long moment, les dernières parcelles de la pillule finir par disparaître pour agir dans son intégralité. Brusquement, elle esquissa un sourire, d'abord crispé, ensuite coquin. Rapportant son attention sur sa bouteille d'eau, elle se dépêcha à l'ouvrir et, en pencha sa tête vers l'arrière, elle vida le contenu sur elle, l'eau descendant telle une cascade sur son buste. Elle lança le contenant dans la pièce avec une telle force que cela fit renverser des contenants de vitre à entendre l'éclat se répercuter sur le comptoir et par terre.

"Marbre? moi? Ne crois-tu que je le suis déjà au naturel avec tant de résistance?"

Sur ce, elle sauta sur le médecin, accrochant ses lèvres aux siennes comme si elle voulait les lui arracher. Elle penchait sa tête à droite, à gauche, tout en restant aggripée à ses lèvres. Elle entoura le cou de Martin de ses bras, caressant son dos avec frénésie. Par ailleurs, elle mouvait son bas du corps si rapidement, en claquant son bassin sur le ventre de Carter et son postérieur sur ses cuisses. Amenant intentionnellement sa poitrine près de son visage, là où son coeur battait la chamade et lui brûlait la cage thoracique, elle lâcha sa bouche pour aller lui mordiller l'oreille puis lui baiser encore plus sensuellement son cou, faisant presque une Dracula d'elle-même. Puis, elle revenait à sa bouche, enfonçant sa langue assez profond comme si elle désirait lui nettoyer les amygdales.

Manifestement, elle avait un surplus d'énergie et le seul moyen de pouvoir lui faire abaisser ce niveau c'était de le dépenser. Sans doute, Martin serait d'une grande aide.

¤Encore du ménage et du travail pour ma pomme. Mon travail n'est décidément jamais terminé...¤

Pensa Martin juste avant d'être capturé par la tornade Lévy. Ils les nourrissaient à quoi, les espions de la Schya? au propergol? à la nitroglycérine? Il n'aurait su le dire. Ce qu'il savait par contre c'est que la jeune femme était survoltée et que visiblement cela avait un effet encore plus prononcé sur son tempérament instinctif qu'autre chose. Martin aurait pu trouver cela amusant s'il n'avait pas été à court d'idée pour trouver un moyen de calmer la jeune femme. Cela commençait à faire beaucoup pour une expertise somme toute limitée... Et Carter se demanda quels trésors d'imagination il devrait encore déployer vis à vis de la jeune femme. Pour un peu plus et il se serait retrouvé avec la face dans le buste de la jeune femme...

¤Comment tu vas te sortir de celle là, MArtin Carter?¤

» Martin Carter
» Révélations avec un grand R [PV Martin Carter]
» Visite inattendue [PV]
» Visite de l'appartement de Lorn par Lorn.