Protéger et servir: deux mots lourds à porter

Malhia Lyman, capitaine dans les forces policière d'Ataxia, était habillée en policier civil pour cette "mission d'observation" (le nouveau hobby de ses patrons: observation par ci, observation par là...) dans le quartier contrôlé par la Schya. Mêmes directives: voir la réaction de cette faction criminelle face aux forces de l'ordre. Même armes, même équipement, le strict nécessaire du policier.... Mais pas de voitures. Seulement une moto anti-gravité faites sur le même style que sa voiture adorée. Cette fois-ci, la capitaine n'était pas restée de marbre et il avait fallu se mettre à trois pour l'Empêcher d'étrangler le chef de la police. Elle avait été réprimandée verbalement mais rien d'autre n'Avait été intenté contre elle, fort heureusement. c'est donc avec la certitude que ses patrons en avaient après elle qu’elle prit place sur le siège de la moto et qu'elle partie pour le quartier Schya.

En arrivant sur place, sur l'allée principale, elle fut forcée de reconnaître que ces criminels là avaient de la clase. Beaucoup de classe. Mais elle n'était pas là pour admirer le paysage. De un, elle était en policier civil (juste son badge, pas de képi, seulement une casquette...) et en plus sur un véhicule blindé certes... Mais à habitacle ouvert! Une balle et c'était finit pour elle. Remarquant qu'un feu de circulation était défectueux et que le ton montait entre les automobilistes (chauffeurs de limousines et motards devraient-on dire...), elle se décida à faire ce que tout bon policier se doit de faire: son travail. Sifflet à la bouche, indiquant l'ordre de passage avec la main et sa matraque, elle se mit à faire le feu de circulation humain sous les huées, les rires et les insultes des passants. On lui jeta des détritus (elle resta stoïque face aux immondices) mais on renchérit avec des pierres et elle tenta de conserver son poste tout en se protégeant. Elle voulait les ignorer mais au fond d'elle quelque chose lui disait que ces criminels (ou gens, elle ne savait pas trop comment les différencier...) manquaient de respect pour les forces de l'ordre: c'était, ironiquement, en grande partie grâce à eux que l'Armée se lavait les mains d'intervenir en Ataxia.

Une figure solitaire se détacha de la foule hurlante et méprisante et la personne en question s'approcha de la policière. Venait-elle pour l'Achever, l'insulter davantage? Que lui voulait-on encore? Tout ce qu'Elle faisait, c'était son travail, rien de plus. Elle était arrivée, pacifique et sans intentions hostiles et voilà qu'on la bombardait comme un vulgaire condamné...

"En quoi le service de police d'Ataxia peut-il vous être utile, citoyen?"

Demanda t'elle d'un ton aussi douloureux que poli.

Invité

Comme depuis deux jours, Devis visitait la ville se familiarisant le plus possible avec cette ville tout aussi dangereuse que la jungle amazonienne. Les gens étaient agressifs et très arrogant, il était vrai que certain était très poli et soigné, mais pour d'autres, Devis se gênerait même pas pour leur défoncer leur visage crispée par la haine. Devis était seulement comme ça quand il bossait, pas à longueur de journée.

Comme tous les autres jours, il était au volant de sa BMW sur une rue menant à son établissement pour travailler. Il voulait aller à la salle d'entrainement se dégourdir les jambes et son arme qui était soigneusement rangé à sa ceinture dans son étui noir. Il ne portait pas son Uchigatana et Skorpion VZ61, des armes trop voyante dans la rue. Seulement une arme en cas de gros pépin, le reste était dans le coffre à double fond de sa voiture s'il en avait vraiment besoin. Il pressa de son pied l'accélérateur quand il vira au feu jaune, il fut rapidement pris dans un bouchon. Il faisait déjà une chaleur de fou, mais dans un bouchon c'était encore pire.

Alors voyant que rien ne bougeait, il détacha sa ceinture et retira sa veste rapidement qu'il plia pour mettre sur le divan arrière. Il déboutonna ensuite deux boutons de sa chemise pour laisser passer l'air et ouvrit sa fenêtre à demi ouverte. Il fit tout cela enquelque minute et le bouchon n'avait même pas avancé. Il rattacha sa ceinture pour ne pas attraper une ticket et retroussa ces manches de sa chemise blanche pour ensuite laisser ses mains glisser sur le volant.

Il fit un petit soupire qui faillit faire perdre ces lunettes de soleil de ses yeux, il les rajusta d'une main rapide et s'accota un coude contre le rebord de la vitre et attendit. Quand finalement cela avança enfin, mais ce plaisir fut de courte durée, car une voiture lui rendra dedans en arrière. Il poussa un juron et son visage se crispa de colère. Une nouvelle voiture qu'il venait à peine de payer contant au complet. Dire qu'il pourrait bientôt passer. Il roula rapidement devant la policière et tourna au coin avec l'autre chauffeur qui avait commit les dégâts, ils se stationnèrent dans une ruelle tout près, à quelques pas.

L'autre chauffeur sorti en premier et il se mit à gronder Devis qui venait de claquer sa voiture. Ils étaient tout deux des colosses qui se regardaient avec des regards noirs, malgré que l'homme avait une tête de plus que Devis. Ce fut Devis qui parla en premier.

-Tu as appris à conduire où ? Dans une boîte de céréale ? Dit-il avec haine.

-Tu me cherches minus ? Dit en baissant les yeux vers l'homme plus petit que lui.

Devis retira ces lunettes lentement, les rangea dans sa poche de sa chemise et leva la tête vers la tête enflée en face de lui.

-Tu as brisé ma carrosserie et tu penses que je vais être gentil avec toi?Dit-il sur un ton sans réplique.

-Ouais tu as tout compris, d'ailleurs je ne vais pas payer les dégâts, c'était toi à avancer...Dit-il d'une voie sûre de lui.

-Répète ça..dit-il sur un ton ferme.

-Tiens t'es devenu sourd? Dit-il avec un petit sourire.

-Nop, mais avec un homme comme toi qui parle comme un chien c'est extrêmement difficile...

Le poings de l'inconnu vint vers le visage de Devis. C'est à ce moment qu'un passant alla interpeller la policière.

-Mademoiselle..mademoiselle.. il a une bagarre dans la ruelle...

Devis bloquait les coups et cognait son interlocuteur avec précision. Il le mit H"S en quelques secondes. L'homme au sol, il continuait de le frapper dans le visage quand...

HJ: Si j'ai bien comprit c'est Devis qui frappe le type à terre...

DJ:

C'est une policière en fort piteux état, ensaglantée à cause des roches et sale à cause des immondices qu'on lui avait lancée qui se porta à la défense de l'agressé. Profitant du fait que l'aresseur armait son bras, elle s'en saisit et lui fit une cléé de bras pour le maîtriser, sans lui faire mal pour autant. Une invitation à l'explication, non à la confrontation.

"S'il vous plaît, monsieur, calmez-vous, je ne désires pas vous mettre aux arrêts pour assaut sur un citoyen sans défense. Cependant... Je suis perssuadée que vous aviez une raison de frapper ce monsieur. Les gens de ce quartier, tout du moins ceux relevant de la société criminelle Schya, n'agissent jamais sans une logique froide et calculatrice."

Elle le lâcha ensuite, ne cherchant pas à nuire à cet homme mais plutôt à lui éviter des ennuis. Les gens de la Schya haïssait le désordre à ce qu'on lui avait dit. Et le type par terre ne risquait pas d'aller bien loin aussi elle n'avait que ce monsieur à surveiller.

"Je suis la capitaine Malhia Lyman, du service de police d'Ataxia. À votre service monsieur. Puis-je maintenir recueillir votre explication?"

Se présenta t'elle sans arrogance, sans ton menaçant, pour montrer qu'elle était tout sauf une nenemie.

Invité

[Ouais c'est exacte..mais euh...comment tu sais que je travaille pour la Schya..on ne se connait même pas...lol pas grave..^^)

Comparé à sa victime au sol, ce fut avec une bonne technique maîtrisé que Devis fut immobilisé. Le bras dans le dos, il offrit aucune résistance pour ne pas trop aggraver son cas, car il avait vite remarqué, d'un simple mouvement de tête vers l'arrière, que c'était une policière qui le tenait fermement, d'ailleurs c'était elle qui s'occupait des voitures au coin de la rue un peu plutôt. Elle lui parla poliment et il se calma aussitôt faisant baisser sa tension d'un coup. Ce mec lui avait vraiment fait péter un câble, il était bien rare de le voir dans des états comme ça, mais quand on brisait sa voiture neuve et qu'on venait lui cracher des niaiseries en pleine figure, il ne devenait pas très gentil. D'ailleurs ce n'était même pas lui qui avait commencé.

Elle le relâcha lentement et continua à lui parler d'une voie tout aussi neutre que poli. Il regarda l'homme en sang au sol avec un regard sévère. À ce moment, l'homme qui était blessé se releva péniblement et s'accota contre sa voiture tout en regardant la policière et l'homme plus petit que lui qui venait de lui donner une bonne correction, qui le crut.

-Vous savez quoi, je crois que le problème est réglé de toute façon Mademoiselle Lyman..alors vous pouvez disposer. Dit-il sur un ton rude.

Il ne voulait pas s'attarder ici. Ce mec l'avait cherché et il méritait bien son sort.

-Non, dit le blessé, ce mec est un fou, il m'a carr..ré..carrément..difiguré, c'est un acte, c'est un acte criminelle...vous ne pouvez pas... je vais le poursuivre en justice...vous devez l'arrêter, dit-il en reprenant à chaque fois son souffle.

Le regard que Devis jeta à l'homme le fit taire bien vite par contre. C'était un regard rempli de haine et qui envoyait des lames directement dans le coeur de la victime.

-En tout cas, Miss. Lyman... je crois que vous pouvez faire ce que vous voulez...mais on se dépêche je suis censé bosser en ce moment..., dit-il sur un ton qui venait de franchir la barre de l'impolitesse.

Ce n'était pas vrai, mais un petit mensonge faisait de mal à personne. Entre temps, il réajusta son col de chemise et remit ces lunettes de soleil.

HJ: Attention, je suppose moi, je suppose^^ Je suis quand même en plein quartier Schya!

DJ:

"Immédiatemment monsieur. Si j'ai bien compris, ce monsieur a fait quelque chose qui vous a déplu et vous l'avez frappé ce qui en soit..."

La policière vit que le regard de quelques personnes était fixé sur un point plus loin derrière elle. Elle se retourna et poussa un juron bien sonore en voyan les dommafes de la BMW qui semblait neuve...

"C'est cet individu qui a âbimé votre voiture?! Et bien vous avez plus de contrôle que bien des gens mmonsieur, j'en connais qui aurait tué plutôt que de simplement cogner..."

Dit la policière, à la fois impressionné et mal à l'aise de ne pas avoir fait le lien plus vite. Son regard glacial se posa en suite sur l'homme à terre.

"Je ne suis pas psychologue mais je crois avoir une idée de ce qui s'est passé. Vous lui avez rentré dedans, il a exigé dédomagmement et à voir votre air de voyou, vous avez refusé et vous vous êtes montré désagréable... Et bien laissez moi vous dire ceci. Remerciez ce monsieur pour ce qu'il vous a fait car si vous aviez défoncé mon véhicule à moi, c'est à l amorgue que vous seriez en train de vous rendre. Je ne peux décider pour le propriétaire de la BMW mais si il exige dédommagement et que vous refusez, c'est en cour que cela se terminera et je connais bien le juge: lui aussi a une BMW et il y tient comme à sa vie. Il sera tout sauf clément."

Invité

-Mais...mais..., finalement le blessé se tut.

Devis ne parla même pas, il n'émit aucun commentaire aux paroles de la policière. La seule chose qu'il fit, fut un grand sourire aux lèvres satisfait. Cette femme lui plaisait bien. Il regarda le blessé à travers ces lunettes fumées et continua de sourire. C'était son jour de chance, il n'aurait même pas besoin de donner son identité ou autre paperasse qui pourrait vraiment le mettre en mauvaise posture. Lui qui croyait qu'il se ferait embarquer, mais finalement ce n'était pas le blessé la victime, mais bien lui. C'était un acte de légitime défense à bien y penser, car c'était l'homme qui avait essayé de le frapper en premier. La vie nous réserve bien des surprise parfois.

L'homme au visage défiguré, ne parlait plus. Au contraire, il était sous le choc de voir que c'était le jeune homme plus petit que lui qui gagnait et non lui. Il trouvait ça vraiment ridicule et bizarre, car c'était lui qui saignait du nez, c'était lui qui avait extrêmement mal aux dents. Tout compte fait, il avait que mal au visage.

-Merci Miss Lyman, mais je lui ferai payer aucune amante ou autre, dit-il poliment à cette dernière, je pense que je l'ai assez puni comme ça, d'accord le grand? Dit-il d'une voie autoritaire.

Le blessé fit signe de la tête que oui. Il n'allait pas répliquer à ça.

-Je crois maintenant, que l'affaire est fermée, avez-vous quelque chose à ajouter Mademoiselle Lyman ? Dit-il avec un sourire charmeur.

Entre temps, l'homme c'était levé et se dirigeait d'un pas lent vers sa voiture. Il ne se retourna même pas vers son agresseur. Il était toujours sous le choc. Il avait litéralement perdu sur toute la ligne.

"Euh... Non monsieur. Si vous le désirez par contre, je epux faire remorquer votre véhicule à la fourrière de la police pour un estimé des dégâts et des coûts de réparation..."

Proposa la policière. Il se rappella que l'homme avait mentionner devoir aller au travail... Et se dit qu'insister serait le retarder davcantage. MAis cet homme risquait d'être pirit dans un trafic monstre si il continuait ainsi... Une seule solution lui vint à l'esprit: une escorte de la police.

"Euh... Monsieur... Si vous le désirez, j'ai ma moto, je pourrais vous escorter jusqu'à votre lieu de travail pour rattraper le temps que vous avez perdu. Cette solution ovus convient-elle? Vous avez mentionné être pressé..."

Sans vraiment laisser le temps de répondre à l'homme, ele retourna à son véhicule au pas de course et revint auprès de cet étrange individu qui ne voulait même pas qu'on lui rembourse les dommages de sa BMW... Elle activa les gyrophares et attendit sa réponse avant de partir de vant, sirènes et tout pour lui ouvrir la voie.

Invité

-À non, ça va..je vais la faire réparer plutard, dit-il avec un air sérieux.

Il ne voulait vraiment pas que la police prenne une des choses pour aller par la suite fouiller son dossier. Il réajusta ces lunettes noir qui tombait de son nez et se dirigea d'un pas lent vers sa voiture. Toutefois, avant qu'il arrive, elle lui parla encore et ce qu'elle dit le mit un peu malaise. Il ne le laissa paraitre, mais il avait été stupide d'avoir dit qu'il était pressé pour aller travailler.

-Euh...une seconde...je vous pris

Il ouvrit la portière de sa voiture et tourna la clé pour partir le moteur. Il regarda l'heure et resortit de la voiture lentement.

-Non, ça va...je peux y aller seul, je crois pas que je vais être en retard, il me reste encore 10 min et c'est à un coin de rue. Ce n'est pas assez loin pour que je vous demande vos service. Dit-il poliment.

Il rerentra dans la voiture, s'assit confortablement et passa la tête par la fenêtre pour parler à la policière qui lui avait rendu un grand service.

-Merci, Miss Lyman, dit-il avec un sourire.

Il quitta sa fenêtre, pressa la pédale et disparut au coin de la ruelle pour allez à l'entraînement quotidien..

Le capitane Lyman retourna donc à son post, au feu de circulation pour reprendre le rôle de feu de circulation vivant, toujours sous les insultes et les projectiles du petit groupe d'énervé. Mais il ne leu raccorda, comme précédemment , acune attention. ELle avait fait son travail, elle continuait de le faire et c'est tout ce qui lui importait. Elle allaitrester en poste jusqu'à la fin de sa période d'observation. Il lui restait encore 6 heures à atttendre en plus de la venue d'un réparateur de la Schya ou d'ailleurs

*Il faut vraiment que je sois cinglée... Pour faire un métier pareil.*

Et donc elle attendit, dans cette atmosphère hostile à rendre fou n'importe quel être humain sensé adorant l'attention.Mais dans la police, on ne s'arrête jamais à ce genr de considérations... Si on voulait rester sain d'esprit à défaut de corps.

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» Rencontre entre deux hyper-corporations (PV)