Ataxia : nouvelle génération
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Ataxia, la capitale d'un monde chaotique où le pouvoir découle de la richesse et de la terreur.
 
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 William Stryker

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2 participants
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William Stryker
Inspecteur
William Stryker


Nombre de messages : 24
Age : 40
Date d'inscription : 08/11/2008

Feuille de personnage
Age: 35 ans
Armes: Magnum, Taser gun, couteau
Equipement: Téléphone cellulaire, briquet pistolet, mouchoir de soie

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MessageSujet: William Stryker   William Stryker EmptySam 8 Nov - 2:35

Prénom : William
Nom : Stryker
Âge : 35 ans

Activité / Travail : Inspecteur

Influence : haut gradé dans les services de la police d’Ataxia, ce qui lui permet de faire pratiquement tout ce qu’il veut sans qu’il n’y ait de conséquences… tout du moins en ce qui le concerne.

Armes : Magnum, Taser gun, couteau
Équipement : Téléphone cellulaire, briquet pistolet, mouchoir de soie

Physique :
Certains diront que William est l’archétype du « bad boy », mais lui préfèrerait qu’on le décrive comme le classieux ténébreux. Grand, un mètre quatre-vingt-cinq environs, et doté d’une silhouette finement musclée, ses cheveux d’un brun profond souvent ébouriffée mais toujours avec classe, des yeux d’un bleu clair et perçant qu’on dit parfois hypnotiques, William est beau, le sait et en use et en abuse afin d’obtenir ce qu’il veut. Son visage est déjà marqué par l’âge, mais cela ne fait que renforcer son charme et sa virilité. Il porte parfois une barbe de quelques jours, parfois non, selon son humeur du moment, aussi variable et aléatoire que la météo. Il est toujours impeccablement vêtu, le plus souvent en noir et blanc façon costume, mais lorsqu’il sort, il ne quitte jamais son long imper marron si typique à son rang d’inspecteur. Il le sait, mais aime jouer de ce cliché. Il est rare de le voir sourire, et lorsque cela arrive, cela fait plutôt froid dans le dos. Car ce qui le fait sourire est ce qui fait trembler la plupart des gens. Il a le plus souvent l’air calme et posé, mais William est névropathe, et est animé de façon totalement aléatoire par d’impressionnantes démonstrations de colère et de violence. Rares sont ceux encore vivant pour en témoigner par contre…

Caractère : Vaniteux, arrogant, égoïste, corrompu, violent… William aurait-il autre chose que des défauts ? Tout dépend de l’angle avec lequel on aborde le personnage. Il est vrai que c’est quelqu’un de très ambitieux, qui obtient toujours ce qu’il veut. Mais il est également vrai que, pour ce faire, il use de méthodes peu recommandables. Disons le clairement : cet être est nuisible pour la société. Paradoxal, étant donné qu’il travail pour la police. Sa violence, qu’elle soit envers ceux qu’il traque ou envers ses subordonnés (et même ses supérieurs), il l’excuse par sa névropathie ainsi que son enfance solitaire. Mais la réalité est bien plus vicieuse que cela : en vérité, William se complait dans cette violence. Se sentir supérieur, tout puissant, exploiter les autres, les rabaisser, les torturer, voilà ce qui l’exalte. Son métier n’est qu’un prétexte et l’immunise pour qu’il puisse s’adonner à ces vices. Toutefois… On dit que… La rumeur prétend que ces dernières années, il ait mit au point plusieurs techniques encore plus impitoyables que la torture pour atteindre cette exaltation lente à atteindre par ces moyens traditionnels qui mettent trop de temps à son goût avant de fournir des résultats satisfaisants. Que les rumeurs soient vraies ou fausses, elles ont de quoi faire froid dans le dos…

Histoire : Ataxia n’est pas devenue la capitale mondiale pour rien : depuis des décennies, elle a en son sein la plus grande concentration des grandes et riches familles du monde entier. Parmi celles-ci : les Stryker. Michael Stryker était à la tête d’une des plus grandes compagnies d’armement. Quant à Jane Stryker, née Rees, elle n’était autre qu’une des plus fameuses actrices des années 20. Elle avait dix-sept ans lorsqu’elle épousa Michael, et vingt-cinq lorsque William vint au monde. Dès qu’elle vu les vergetures que cela lui avait apporté, elle se promit de ne plus jamais avoir d’enfants, avant de dépenser des milles et des cents pour effacer les traces de la grossesse qui avait déformé son corps. Avait-elle de la rancœur envers son enfant ? Certes, Jane était une femme superficielle. Elle avait épousé Michael, de quinze ans son aîné, plus pour sa fortune que pour son esprit. Néanmoins, ce n’était pas une mauvaise personne, et elle ne pouvait renier son instinct maternel. Elle aimait son enfant, mais ne se consacrait pas énormément à son rôle de mère. Quant à Michael, il était comblé d’avoir un héritier et ne demandait pas d’autres enfants. Mais lui non plus n’était pas énormément présent. Leur fortune le leur permettant, les parents de William lui offrirent la compagnie de nurses et précepteurs dont les enfants devinrent ses seuls compagnons de son âge, et dans ce contexte, il ne pouvait s’en faire de véritables amis. De toute façon, dès son plus jeune âge, William les considérait déjà comme inférieurs à lui. Ils n’étaient que des domestiques à son service, rien d’autre. Comment pouvaient-ils l’apprécier, s’ils étaient forcés de se trouver en sa compagnie ? Lui, le fils des patrons de leurs parents. Lui, le gringalet anémique qui devait toujours se balader avec ses cachets sur lui sous peine d’hospitalisation immédiate. Lui, le seul à ne pas avoir de vraie famille. Que de bonnes excuses pour passer la rage qu’il avait contre la vie sur ceux qui lui étaient inférieurs. Et malgré son jeune âge, il fit montre d’une inventivité et d’une cruauté peu commune pour un enfant. La rumeur veut qu’il causa même la mort d’un des enfants qui se trouvait à être un compagnon de jeu forcé… Mais rien de formel ou de tangible n’est disponible pour confirmer ou infirmer ce fait.

Un jour, quelques temps après ses dix ans, son père lui présenta le fils d’un de ses associés. Austyn avait à peine un an de plus que William, et était un fier jeune gaillard, toujours prêt à s’amuser, un peu imbu de lui-même, mais drôle et amical. Les deux garçons devinrent rapidement amis, et ce fut grâce à Austyn que William put finalement sortir de sa bulle pour aller explorer la ville du crime. Au début, ce fut dur pour ses parents de laisser sortir leur fragile héritier. Mais comment retenir un enfant à l’aube de l’adolescence entre quatre murs ? Plutôt que de le voir fuguer, ils préférèrent lui accorder ses sorties. Austyn et William auraient pu faire de mauvaises rencontres. Mais heureusement pour eux, ils se firent rapidement des connaissances qui leur valu de devenir de vraies petites terreurs de la rue : fils de policiers, de militaires, de politiciens et d’industriels, tout comme eux, qui cherchaient à sortir des rails et qui aspiraient à une vie un peu moins licite. Bien sûr ces activités devaient rester secrètes auprès de leurs parents, et William développa rapidement un certain talent pour l’embobinage et la manipulation. Parallèlement, alors qu’il devenait de plus en plus violent, il se mit à être victime de crises de névropathie, maladie qui le font toujours souffrir aujourd’hui. Quand le corps est pendant des années habitué à un air filtré et pur et que vous sortez de plus en plus dans un milieu pollué où les effluves et les relents de la drogue, de l’alcool et du vice sont omniprésente, cela a de quoi vous détériorer le système en un rien de temps… Plus le temps passait, plus le gang se renforçait, plus leurs actions devenaient importantes et nuisibles. William se sentait enfin épanoui, et pour rien au monde il n’aurait voulu renoncer à cette vie. A l’aube de sa vie adulte, alors que ses parents le pressaient de se choisir un métier, il réfléchit : comment continuer à exercer une telle vie ? Pas question de suivre la voie de son père. Ce n’était pas assez exaltant pour lui. Il voulait être sur le terrain, pouvoir soumettre les autres, se sentir tout puissant…

Militaire ? Trop stricte. La police alors ? Un de ses camarades fils de policier l’encouragea dans cette voie. C’était dit. Mais avec son casier judiciaire, cela risquait d’être difficile. Heureusement que son père était une des plus grandes fortunes au monde. Un coup de fil et la promesse de fournir au commissariat des réductions alléchantes sur les armes de sa compagnie plus tard, et William était engagé. Est-il vraiment utile d’expliquer pourquoi il monta rapidement en grade pour finalement devenir inspecteur à l’âge de vingt-trois ans seulement ? Mais ne mettons pas non plus tout sur l’intervention paternelle. William se révéla un élément très efficace. Sûrement à cause de ses méthodes… quelque peu orthodoxes. Dénué de toute morale, corrompu jusqu’à la moelle, tout lui est convenable du moment qu’il obtient ce qu’il souhaite. Immunisé par le pacte passé entre la police et sa famille, ainsi que par son haut grade, il peut se permettre de mener la vie qu’il veut sans que cela ait la moindre répercussion.

Il n’a bien sûr pas cessé ses activités criminelles avec ses petits camarades, loin de là. Il est d’ailleurs le chef du petit gang et ceux qui contestent son autorité connaissent tous un funeste sort… Personne ne sait où se trouve son « quartier général » mais la rumeur prétend que l’ancienne boucherie industrielle d’Ataxia, prévue pour être démolie mais soudainement mit sous la charge de la Ataxia’s construction company, une compagnie faisant figure d’autorité au niveau de la construction, de l’entretien et de la démolition de bâtiments, serait une bonne piste. La rumeur fait aussi état d’un vol important dans un laboratoire expérimental de l’armée et que les stocks dérobés sont aussi innovateurs que dangereux et que entre de mauvaises mains, les ravages pourraient être considérables. Deux semaines plus tard, la police mettait la main sur un échantillon d’une drogue inconnue qui rendait addict dès la première absorption, un composé chimique qui encore aujourd’hui soit un an plus tard laisse encore les experts dans le noir, incapables d’expliquer d’où vient cette substance.

À quel sinistre jeu William Stryker se livre-t-il en Ataxia? Que prépare t’il exactement? Personne ne semble le savoir et tout ceux qui ont essayé ont disparu sans laisser de traces…
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Lily Roverandom
Tueuse à gages
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Société : Schya
Formation : Garde du corps
Citation : Win or die
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Armes: Sig-Sauer Pro SP 2022, wakizashi, sniper
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MessageSujet: Re: William Stryker   William Stryker EmptySam 8 Nov - 2:45

Fiche validée
Bon jeu :)
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William Stryker
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