Leonard le Bollec

Prénom : Leonard
Nom : le Bollec, nom qu’on lui a donné pour sa couverture dès sa naissance. Mais son vrai nom, celui de son père, est Louisan.
Age : 32 ans

Société : Officiellement Schya, mais il est dans la réalité un Mavros
Rang : Médecin
Formation : La formation Mavros de 6 à 15 ans, puis des études de médecines durant 10 ans.

Armes : Un pistolet, des éperons et un spray au poivre.
Equipement : Une fourchette, un couteau et une bouteille de désinfectant, parce qu’il déteste manger avec des couverts de restaurant.

Physique : On ne peut pas qualifier Leo de beauté fatale, loin de là. En plus de ne pas avoir été spécialement gâté par la nature, il ne prend pas vraiment soin de son apparence. Des sourcils épais, en bataille, des cheveux longs, qu’il a surement coupé lui-même, qu’il ne fait que coiffer vite fait le matin avant de partir travailler. Il a les dents jaunes d’un fumeur, et les cernes d’un drogué. Un Mavros ne se refait pas. Il compense cela avec une tenue toujours irréprochable. Toujours chic, il ne porte que des chemises de couleur unie, des vestes de grands couturiers et des pantalons assortis. Un détail jure cependant avec cette tenue, l’une de ses armes : des éperons. Discrets, fins, assez longs, mais très pointus. Ils sont la plus part du temps dissimulés sous les pans de son pantalon.
Il est de taille moyenne, c'est-à-dire 1m 70, et pèse 65kg. Il est musclé, mais garde un corps assez fin, sa musculature est la seule chose qu’il entretienne vraiment, à Ataxia, cela peut très souvent s’avérer vital. Même s’il n’est pas agent sur le terrain, il s’entraine tous les soirs, après qu’il ait fini son service. Il a en permanence sur lui, dissimulé sous sa chemise et attaché au bout d’une chaine argentée, une plaque d’identification militaire avec un faux nom.

Caractère : Très réservé, Leonard est cependant connu dans les services hospitaliers de la Schya comme étant un excellent médecin et chirurgien. Très doux, on vente ses talents à ne jamais faire mal durant une intervention, quoi qu’il fasse. Il affiche une fidélité à toute épreuve à la Schya, une dévotion sans condition. Il sait cependant se faire discret, car tout ceci n’est qu’un masque, une couverture. La réalité est toute autre.
Il est un Mavros, corps et âme, et il effectue la mission pour la quelle il a été formé depuis son plus jeune âge, à savoir infiltrer la Schya de manière permanant. Il éprouve pout cette société une haine et un dégout profond, surtout depuis qu’il côtoie ses membres de prêt. Il est de nature impulsive, fêtard, vulgaire, mais il est bien entendu hors de question qu’il le laisse paraître. Cela fait maintenant 7 ans qu’il vit sans jamais pouvoir laisser paraître sa véritable personnalité, de peur de se faire découvrir. Il n’est en revanche pas très violent, il n’utilise la force que quand cela est nécessaire, pour se défendre, pour se débarrasser de quelqu’un de gênant pour son secret… Il utilise des méthodes de combat plutôt étrange, détestant utiliser les armes à feu qu’il trouve trop bruyantes, il préfère se débrouiller pour mettre son ennemi à terre après un corps à corps, et l’achever d’un coup d’éperon dans le front, c’est en quelque sorte sa signature.

Histoire : Leonard est le fils de l’ancien Boss de la Mavros, Andrew Louisan, et de l’une de ses nombreuses conquêtes, Tagna Kwankorf. Les premières années de sa vie se déroulèrent plus ou moins normalement, chez une nourrice, sa mère tueuse à gage pour la Mavros n’avait pas beaucoup de temps à lui consacrer. Son père lui, prenait soin de lui autant que son rôle de Boss le lui permettait. Il était destiné à entrer dans la Mavros depuis sa naissance, mais à 3 ans, son père eut un projet bien particulier pour lui. La Mavros avait de nombreux programmes d’entrainement spéciaux top secret, et Leonard allait suivre l’une d’elle. Pour commencer, on lui ôta son nom de famille, sans lui en donner un autre, il fallait qu’il conserve l’anonymat à tout prix, et ce durant toute sa vie. Il allait en effet infiltrer la Schya, et tuer ses membres de l’intérieur.
Il reçu donc une formation plus ou moins similaire à celle de tous les apprentis, excepté qu’il était coupé des autres, au fur et à mesure qu’il grandissait, il sortait de moins en moins. Son père mourut tué dans un attentat a ses 12 ans. Le boss qui lui succéda maintint la mission qu’on lui avait confiée.

A 15 ans, une fois que sa formation de Mavros fut terminée, il commença des études accélérées et approfondies. Car pour entrer à la Schya, il fallait avoir des connaissances irréprochables, surtout quand on voulait y entrer en tant que médecin. A 18 ans, il commença des études de médecine, avec brio. Il avait maintenant un nouveau nom, une nouvelle identité, un passé fictif. Il lui était formellement interdit de fréquenter des Mavros, d’aller dans le QG, etc… Il gardait cependant un lien via courrier, et il avait quelques rendez-vous discret, pour connaître les ordres. Il obtînt son diplôme à 25 ans, et postula pour entrer à la Schya. Son parcours était irréprochable, il avait donné comme motivation le simple fait qu’il voulait un travail bien payé. Il n’en avait pas fait trop, il était crédible, il fut engagé.

Depuis ce temps, il travaille comme médecin et chirurgien au sein de la société criminelle. A chaque fois ou presque qu’il avait un patient nécessitant une piqure, il lui injectait un virus mortel, sans traitement connu, qui en plus était quasiment impossible à déceler. Les rares personnes qui avaient découvert la vérité n’ont pas fait long feu. Il s’est rapidement fait une très bonne réputation dans le corps médical, discret et modeste, en plus d’être doué, il est apprécié de ses collègues. Le virus qu’il utilise étant long à se déclarer, ses patients eux même, persuadés d’avoir été guéris lui sont souvent reconnaissants pour sa délicatesse et sa bonne humeur.

Cependant, depuis maintenant 6 mois, un antidote a été découvert pour le virus. Les personnes qu’il infecte ont maintenant la possibilité d’être soignés, encore faut il que la maladie soit découverte à temps. Il continue malgré tout d’utiliser le même, qui est à ses yeux le plus discret.

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