Ataxia : nouvelle génération
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Ataxia, la capitale d'un monde chaotique où le pouvoir découle de la richesse et de la terreur.
 
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 Charlie Blue

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Charlie Blue
Tueuse à gages
Charlie Blue


Nombre de messages : 104
Société : Mavros
Formation : reçue par la Mavros
Citation : Horrorshow!
Date d'inscription : 27/11/2007

Feuille de personnage
Age: 22 ans
Armes: Meteor Hammer personnalisé, britva (canne dans laquelle est dissimulée un poignard), Sig-Sauer P245
Equipement: un silencieux, un python nommé Basil

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MessageSujet: Charlie Blue   Charlie Blue EmptyMer 28 Nov - 2:21

Avertissement : ceux qui n'ont pas vu (ou lu) Orange mécanique risquent de pas pommer (comprendre) grand chose ! On ne pourra pas dire que je ne vous avais pas prévenus :)


Prénom : Charlie
Nom : Blue
Age : 22 ans

Société : Mavros
Rang : Tueuse à gages
Formation : reçue par la Mavros

Armes : Meteor Hammer personnalisé, canne dans laquelle est dissimulée un poignard, Sig-Sauer P245
Equipement : un python nommé Basil (si on peut appeler cela de « l’équipement »…), un silencieux


Histoire :
“Ch… Charlie ? Qu’est-ce que tu fais debout à cette heure ? Qu’est-ce que… M… Mais… ETEINDS MOI ÇA TOUT DE SUITE !”
Uma Blue se précipita sur le poste de télé et appuya sur le bouton off, alors que sa fille de sept ans se mettait à protester à grand renfort de pleurs et de cris. Jake Blue, vêtu d’une robe de chambre et l’air endormi, pénétra à son tour dans le salon, ayant été attiré par les cris de son épouse et de son enfant.
“Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?” marmonna-t-il d’une voix pâteuse.
“Ta fille qui nous fait encore une insomnie !” aboya Uma, hors d’elle, en tentant de prendre Charlie dans ses bras, ce qui était loin d’être une sinécure étant donné que la petite fille se débattait comme un diable, pleurant et criant à pleins poumons.
“Je veux Aleeex !” hurlait-elle en donnant des coups de pieds et des coups de poings à sa mère qui tentait tant bien que mal de maîtriser cette mini furie.
“Est-ce que quelqu’un va m’expliquer ce qu’il se passe ici ?!” s’égosilla Jake afin de se faire entendre par-dessus le vacarme, mais également parce qu’il était à bout de nerfs, n’étant pas franchement ravi d’avoir été réveillé après minuit.
“Ce qu’il se passe ? Ce qu’il se PASSE ?! Je vais t’expliquer ce qu’il se passe !” vociféra Uma. “Il se passe que, encore une fois, ta fille s’est à nouveau mis en tête de se faire une séance de cinéma en plein milieu de la nuit… Et que je viens de la trouver devant Orange Mécanique ! Voilà ce qu’il y a !”
Jake se passa la main sur le visage, tandis que Charlie continuait à brailler allègrement.
“Elle en a vu beaucoup ?” demanda le père, las.
“Rien qu’un peu aurait été déjà trop… Elle en était arrivée au meurtre de la femme aux chats lorsque je suis arrivée.” répondit Uma d’une voix affligée.
“Je veux Aleeex !!!”
“Et le pire c’est qu’elle a l’air d’avoir apprécié !!!” tempêta Uma.
“Tu hurles comme si c’était de ma faute !” protesta Jake.
“Oui c’est de ta faute ! Je t’avais dis de pas laisser traîner tes putains de DVDs !”
Jake poussa un soupire d’exaspération en agitant le bras en signe d’impatience, avant de tourner les talons en lançant :
“Elle est pas nette cette gamine de toutes façons !”
“Pour sûr ! Je t’avais dis qu’elle serait perturbée avec un prénom pareil !”
“T’avais qu’à me faire un garçon !” cracha Jake avant de claquer la porte du salon.
“Rrrraaaaaaah !!!” rugit Uma en proie à une rage formidable.
“JE VEUX ALEEEX !”

Je m’en souviens comme si c’était hier, de la première fois où j’ai vu ses beaux yeux bleus. Hmm ! Mon Alex ! Pendant trois ans j’ai du vivre de son souvenir, sans jamais pouvoir revoir son image, jusqu’à…

“I’m singin’ in the rain ! Just singin’ in the rain ! What a glorious feeling, I’m happy again !”
Armée d’un pied de biche fauché dans le garage de son père, la petite Charlie, âgée de dix ans, tabassait joyeusement un gamin déjà ensanglanté et hurlant de douleur, tout en chantant ces vers bien connus d’une voix allègre. Charlie faisait pleuvoir les coups sur le corps frêle du petit garçon, de façon régulière, suivant la pulsation de la musique, comme un métronome infernal. Les cris de sa victime se turent finalement. Charlie cessa ses coups et le regarda en penchant la tête, un petit sourire enfantin et amusé étirant ses lèvres, et constata qu’il était mort. Satisfaite, elle s’étira comme un chat, puis s’éloigna de la scène, le pied de biche négligemment jeté sur son épaule, sifflotant l’air de “Singin’ in the rain”. Mais elle n’eut pas le temps de faire dix pas qu’une main sortie de l’ombre se refermait fermement sur son épaule pour la forcer à se retourner. A sa grande honte, elle sursauta, mais lorsqu’elle vit l’homme à l’air pas commode qui l’avait forcée à lui faire face, elle ne fut guère impressionnée et le contempla d’un air curieux et amusé.
“Qu’est-ce que tu veux, mon frère ?” demanda-t-elle de sa voix claire et enfantine, qui tranchait radicalement avec ses bottes en cuir à talons carrés, sa jupe noire et courte, ses bretelles, son chemisier blanc tâché de sang, son œil droit dont les cils étaient magnifiés à grand renfort de mascara noir, son chapeau melon noir, et le pied de biche maculé de sang qui trônait fièrement sur son épaule.
L’homme sourit et répondit d’une voix et grave :
“J’ai vu ce que t’as fais…”
Charlie ne fut nullement impressionnée, au contraire, un éclair de fierté et de défiance brilla dans ses yeux, et son sourire s’élargit. L’homme rit.
“T’as pas l’air d’avoir froid aux yeux ma jolie ! On dirait même que… tu aimes bien ça, la castagne.”
“La bitva ? J’adore !” répondit Charlie en hochant vigoureusement la tête, souriant de plus belle. L’homme se frotta le menton d’un air penseur.
“Tu as quel âge, ma jolie ?”
“Dix ans !” répondit Charlie.
“Dix ans ? Mais c’est parfait ! Dis-moi ma jolie, qu’est-ce que tu dirais si on te donnait la possibilité de faire autant de bitva que tu veux ? Et même d’en faire ton métier plus tard ?”
Charlie fronça les sourcils, mais son sourire s’élargit encore plus et une lueur d’avidité se mit à briller dans ses yeux.
“J’en dirais que je veux, mon frère ! Mais mon Pé et ma Em me laisseront jamais partir.”
“Tes parents ?”
“Ouais, ces bratchni. Je les hais !”
“Tu sais… Je peux m’en occuper.”

C’était horrorshow ! Notre viel ami le rouge, rouge vino avait repeint les murs de notre salon. C’était beau, beau comme une symphonie du divin, divin Ludwig van. La première chose à laquelle j’ai pensée, c’est que j’allais enfin pouvoir revoir mon Alex…

“Qu’est-ce qu’il lui est arrivé ?” demanda un homme qui venait d’entrer dans le salon du QG de la Mavros en dévisageant Charlie qui se roulait par terre, s’arrachait les cheveux, se griffait les bras, pleurait et hurlait à fendre l’âme.
“Euh… J’ai pas bien compris.” lui répondit une jeune adolescente un peu perplexe. “Elle était en train de regarder Orange Mécanique… En transe on aurait dit qu’elle était. Et à la fin elle a pété un câble.”
“La vache. J’avais entendu dire qu’il était violent ce film, mais j’aurais jamais imaginé à ce point là !” fit l’homme, impressionné. “Faudra que je le vois un de ces quatre !” ajouta-t-il avec un sourire sadique.

Comment ils ont osé faire ça à mon Alex ? Ce jour là j’ai découvert la souffrance, la vraie. Voir ses beaux yeux bleus ainsi torturés, ça m’avait fait disjoncter total. Heureusement, je m’en suis remise, et depuis ce jour, je suis plus forte que jamais ! Encore maintenant, je recherche désespérément à croiser un jour la réincarnation de mon Alex. Je sais que ce jour arrivera ! Et alors, je lui montrerai à quel point il a été un bon maître pour moi, et alors, il m’aimera.

Le mot de la fin ? Douze ans ont passé depuis l’entrée à la Mavros. Comme tous les apprentis, elle suivit sa formation jusqu’à l’âge de quinze ans, puis devint tueuse à gages pour le compte de la société.



Physique : Comme vous avez certainement dû le comprendre, Charlie est une fétichiste inconditionnelle du personnage d’Alex DeLarge, et sa tenue est par conséquent inspirée de celle de son héros, bien qu’elle l’ait légèrement féminisée : botte noires à talons carrés, jupe noire, retenue par des bretelles de même couleur, et courte… Mais quand je dis courte, c’est vraiment courte, du genre à laisser voir un bout de culotte de temps à autre. On pourrait dire que c’est plus un bout de tissu qu’une jupe. Chemisier blanc, chapeau melon noir. Les cils de son œil droit sont exagérément épaissis à grand renfort de mascara noir. Elle se déplace toujours avec son python, Basil, lové sur ses épaules ou autour de son cou, selon l’humeur du reptile, et sa canne dans laquelle est dissimulé un poignard. Pour ceux qui ne le sauraient pas, il s’agit bien évidemment de deux autres références à son héros. Ses cheveux noirs sont mi-longs, sans coupe particulière, elle ne s’en préoccupe pas beaucoup, du moment que leur longueur reste celle des cheveux de son héros. A son grand bonheur, ses yeux sont bleus, tout comme ceux d’Alex – si ç’a n’avait pas été le cas, elle aurait mis des lentilles de toutes façons ! Il est plus que rare de la voir accoutrée de quelqu’autre façon. Sauf peut-être au saut du lit, et encore…

Caractère : Cette jeune Mavros n’est pas plus douée qu’un autre, mais elle a quelque chose qui fait la différence : certains diraient qu’elle est complètement folle, d’autre que c’est une tueuse née… Peut-être était-elle tout simplement un peu des deux. Ce qui étonne, voire choque, chez Charlie, c’est qu’elle prend manifestement un plaisir tout enfantin à faire du mal. Ses yeux semblent presque constamment briller d’une lueur sadique. Oh ça, pour sûr, la “bitva”, elle adore ça ! Et tant pis si cela ne vous plaît pas ! Influencée très jeune par le personnage d’Alex DeLarge, le héros d’Orange Mécanique, mais n’ayant pas vu la fin du film et n’en ayant donc pas saisi le message, elle consacre sa vie à marcher sur les traces de son héros. Elle subit un gros choc émotionnel à l’âge de dix ans lorsque, libérée de l’autorité parentale – ses parents ayant été tués par l’homme de la Mavros qui avait recruté Charlie -, elle put enfin voir la fin de son film fétiche. On aurait pu croire qu’elle comprendrait alors le message du film, mais non seulement elle était bien trop jeune, mais en plus, il était trop tard. La seule chose que Charlie avait retenue du film était l’ultra-violence, et son adoration pour Alex. Après cet épisode, sa complaisance dans la violence ne fit que devenir plus intense encore alors que passaient les années. Fétichiste inconditionnelle du personnage d’Alex – et clairement folle à lier étant donné qu’elle a clairement tendance à confondre fiction et réalité – elle s’évertue à rechercher sa réincarnation. On peut la voir chaque année errer dans les rues, le jour d’Halloween ou de Carnaval, traquant les pauvres gens qui se serraient déguisés pour l’occasion en son héros, lesquels finiront généralement en morceaux dispersés dans les poubelles du quartier Mavros. Une dernière chose : messieurs, si vous croyez que la pratique du viol est réservée aux individus de votre sexe, venez donc vous pointer devant Charlie, de préférence déguisé en Alex DeLarge. Votre vision du monde risquerait bien d'en être changée à jamais.
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